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Meilleurs voeux pour 2025
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Accompagner vos transformations
Accompagner des personnes dans le cadre de leur VAE métier est une compétence que j’ai acquise, en me frottant aux règles des référentiels de France Compétences dans le cadre de la VAE « nouvelle formule » (réforme de 2022 visant à simplifier la procédure et à centraliser l’information sur la plateforme France VAE).
J’avais déjà accompagné des personnes il y a plus de 10 ans dans l’entreprise dans laquelle je travaillais, qui formait à l’époque des agents de maîtrise et des opérateurs évolutifs de la Métallurgie suite à leur mise en place, et leur proposait de passer des CQP Responsables d’équipes autonomes et Equipiers autonomes de production pour les fidéliser. Cette expérience était très valorisante, tant pour moi que pour les personnes qui tentaient l’aventure et réussissaient brillamment, avec l’appui de l’UIMM locale.
Puis j’ai accompagné en 2021 des demandeurs d’emplois pour un sous-traitant de France Travail, qui proposait des VAE et formations dans le cadre d’un dispositif CSP.
En 2023, en tant qu’OF indépendant (VIASENS), j’ai fait de la sous-traitance pour un OF généraliste basé à La Roche Sur Foron, Arve Form’Action, n’étant pas moi-même certifiée Qualiopi pour la VAE (je suis certifiée Qualiopi pour les actions de formation et les bilans de compétences). Fidèle à mon parcours professionnel personnel, je m’étais « spécialisée » dans les diplômes du supérieur (du BTS au master) des domaines tertiaires et support, ainsi que dans les titres professionnels, CQP et diplômes de l’Industrie (électrotechnique, maintenance, usinage…). Avec la responsable pédagogique de l’organisme de formation et l’équipe de consultants-formateurs sous-traitants, nous avons mis en place l’ensemble du dispositif pédagogique d’accompagnement, en individuel et en collectif.
C’était sans compter la décision arbitraire de l’Etat et de Uniformation (l’OPCO financeur du dispositif), cet été 2024, de ne prendre en charge financièrement que les diplômes et titres du secteur médico-social : au lieu de 217 certifications, seules 24 sont désormais éligibles sur la plateforme. Les AAP (architectes accompagnateurs de parcours) n’ont pas été informés de cette décision, les sous-traitants desdits AAP encore moins.
8 mois à accompagner 10 personnes, individuellement et collectivement, pour 2 dossiers financés. Autant dire que j’ai « perdu mon temps », mais que j’ai gagné en compétences et en précision, et découvert des personnes passionnées par leur métier et une équipe de consultants généreux au service des projets individuels.
Je souhaite désormais réorienter mon action d’accompagnement VAE auprès des Branches Professionnelles des métiers de l’industrie, essentiellement (métallurgie, automobile, plasturgie, matériaux et chimie) :
Je peux accompagner des VAE collectives pour des entreprises industrielles, souhaitant développer l’employabilité de leurs collaborateurs dans le cadre de plans de sauvegarde de l’emploi, ou upskiller leurs compétences pour suivre les mutations technologiques dans le cadre de leur GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences).
Je peux également accompagner des particuliers qui visent des diplômes post-bac en candidat libre dans le cadre du CPF, abondé par leur employeur, la Région ou France Travail.
Si vous avez un projet de ce type, contactez-moi au 06 83 89 92 37, je serai heureuse de répondre à votre besoin, ou par mail : contact@viasens.fr
J’entends dans certaines organisations ou certains réseaux des personnes dire : nous ne travaillons pas avec des consultants, nous ne prenons pas de free-lances, nous avons assez de ressources en interne pour faire face aux problématiques que nous rencontrons. Que peuvent connaître les consultants de notre réalité interne et de notre secteur d’activité ?
Je l’ai dit aussi dans mon passé de cadre en entreprise, avec une vision très restrictive, parfois négative. Je croyais que les consultants externes, notamment quand ils venaient de grands cabinets (les majors), étaient là juste pour vendre une prestation toute faite.
Or, quelles que soient les motivations, cette approche est fausse à un triple niveau :
– Tout d’abord il faut considérer que c’est le client / l’entreprise, qui garde le pouvoir de décision : le consultant propose des scénarii face à des problématiques complexes avec de multiples interdépendances. Il s’appuie sur son expérience et sur l’intelligence collective de l’entreprise cliente, qui apporte beaucoup plus que la vision de la direction seule.
– Ensuite, les consultants d’aujourd’hui sont les anciens salariés d’hier, ceux qui ont de l’expérience et qui veulent en faire bénéficier plusieurs entreprises, dans différents contextes. Par expérience, je suis certaine que les salariés qui ont franchi le cap de l’indépendance se sont forgés de solides expertises, et leur capacité à proposer et décider était devenue incompatible avec les processus des organisations dans lesquelles ils se trouvaient. Un consultant sénior peut être extrêmement pertinent, car il a le recul suffisant et n’analyse pas les situations dans l’urgence (grand mal du siècle, courte vue et urgences extrêmes).
– Enfin parce que, à l’échelle d’un territoire ou d’un secteur d’activité, l’organisation ou le réseau se prive de compétences émergentes ou uniques qu’elle n’a peut-être pas encore (ou qu’elle n’a plus) en interne. Les consultants font de la veille, continuent à se former, sont en lien avec les universitaires et les scientifiques, et apportent souvent de nouveaux éclairages sur une problématique, avec une vision 360 degrés.
Pour ces 3 raisons fondamentales, j’invite les entreprises et les réseaux à s’appuyer sur des consultants, à partager leurs travaux d’analyse et de recherches de solutions, avec des prestataires, des bureaux d’études, des maîtres d’œuvre, des chefs de projets, à s’ouvrir, et à faire cohabiter des opinions divergentes mais complémentaires au sein de leurs organisations. Ce ne sera pas toujours facile à gérer, mais autrement plus enrichissant pour toutes les parties prenantes, dans une perspective génératrice de valeur et de partage des connaissances.
Le 3 juin 2024, je passais mon audit de suivi Qualiopi avec Xavier Walle, un auditeur du réseau AFNOR Certification.
Mission accomplie : 0 non-conformité, 0 remarque, 1 seule observation pour un oubli vite rattrapé !
Ce fut finalement un bon moment, et une révision générale pour les fondamentaux à maintenir quand on veut s’adresser aux entreprises et proposer des formations et des bilans de compétences, concourir à des appels d’offres, travailler avec des partenaires, et être éligible aux financements mutualisés.
VIASENS vous accompagne, quelle que soit votre problématique liée aux compétences, aux mobilités professionnelles, à la dimension humaine, RSE ou managériale de votre organisation.
Particuliers, indépendants, salariés qui vous posez des questions sur votre avenir professionnel, nous pouvons en discuter lors d’un bilan de compétences ou d’un accompagnement personnalisé.
Managers, dirigeants d’entreprises, chefs de projets, Responsables RH, qui avez les clés économiques et sociales des entreprises, investissez dans les compétences transverses de vos équipes, elles n’en seront que plus engagées et créatives.
VIASENS est à l’écoute de vos projets.
Il est urgent de remettre de « vrais » DRH dans les entreprises
Loin de permettre de s’émanciper, les conditions de travail modernes (plateformes, lean management, ubérisation du travail…) engendrent de nouvelles aliénations. Les salariés n’ont plus les moyens de se protéger de la virtualisation des relations de travail et des injonctions paradoxales, écartelés entre des objectifs inatteignables, des méthodes prescrites inapplicables, et le travail dit « réel », c’est-à-dire tous les ajustements qu’ils font pour que cela fonctionne.
Bien avant la crise Covid, les collectifs de travail avaient été écartelés par la pression des volumes à produire, des temps à respecter, des gains de productivité à atteindre. Après Covid, l’éloignement et le télétravail ont terminé de les démanteler.
L’absence de management clair dans les entreprises, y compris les entreprises dites « libérées » a renforcé le flou et l’auto-culpabilisation des salariés, en quête de justification de leur travail, dépossédés de leur métier.
Les « bull-sheet jobs » ont multiplié le recours à des études et rapports qui ne sont lus par personne et alimentent la guerre des chiffres, les contre-vérités et arguments fallacieux, au détriment de l’action pour corriger les dérives.
La responsabilité individuelle a remplacé l’article L4221-1 du code du travail, selon lequel l’employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs.
Si les salariés se plaignent ou se mettent en arrêt de travail, l’alternative est vite trouvée : on les remplace par des robots (industrie 5.0, digitalisation des fonctions support).
Cette réalité du travail n’est qu’une résurgence moderne du travail taylorien parcellisé, sous l’influence de la financiarisation de l’économie et de la digitalisation des transactions.
La déshumanisation a commencé il y a très longtemps, et se poursuit à vitesse grand V grâce aux nouvelles technologies. L’IA n’est-elle pas censée décider plus vite, automatiser les tâches, remplacer les hommes dans les activités complexes et les environnements extrêmes ?
Les sociétés du marketing digital, fleuron de l’économie post-industrielle, « entassent » des gens sur des plateaux téléphoniques, rachètent nos données, créent des avatars pour récupérer la connaissance des experts, des tunnels de vente ou des « aimants » à prospects, alors même que les relations humaines internes sont appauvries et réduites à la salle de pause ou au babyfoot. Du pain et des jeux me direz-vous !
Il est temps de remettre de l’humain dans tous les secteurs de l’économie, des espaces de dialogue en entreprise, et des DRH pour fixer le cadre du terrain de jeu, les limites à ne pas franchir, et une régulation des relations de travail.
Non pas des DRH juristes, champions des règles et du droit social, non pas des DRH Business Partners, caution de directions peu scrupuleuses, mais des DRH porteurs d’une vision, binôme du Dirigeant de l’entreprise, et influents auprès de leurs collègues dans les comités de direction, et de leurs actionnaires.
Depuis leur mise sous tutelle des fonctions administratives et financières, je constate que les DRH ne sont que rarement consultés ou impliqués en amont dans les projets ou les changements, alors même qu’ils sont les porteurs des valeurs et de la culture d’entreprise.
Privilégier l’action collective pour trouver des solutions concrètes aux problèmes posés, donner aux personnes le pouvoir d’influencer les décisions prises et la manière dont elles font leur travail, partager la valeur produite, voilà un projet de société dont nos entreprises et notre pays tout entier doit s’emparer, pour réduire les fractures, les cloisonnements, les fausses représentations amplifiés par les algorithmes et les réseaux sociaux.
C’est à ce prix que les salariés retrouveront de l’engagement au travail, et la joie de contribuer à une société plus utile, plus juste, et plus équitable.
Alors, vite, à nos DRH, prêts, partons !
La GEPP (Gestion des emplois et des parcours professionnels) apparue avec les Ordonnances Macron de 2018 et l’entretien professionnel dans sa version évoluée ont remis à l’honneur la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) dans les entreprises de plus de 300 salariés, ou celles de plus de 150 salariés appartenant à un groupe.
La GPEC comporte plusieurs volets :
. La gestion quantitative des emplois actuels et futurs (anticipation des départs et gestion des emplois)
. La gestion qualitative des compétences (desquelles aurons-nous besoin demain ? Lesquelles sont en tension et lesquelles deviennent obsolètes ?)
. Le dialogue social (négociation d’un accord GPEC, comment gérer les différentes générations au travail, les fins de carrière, la pénibilité…).
Bref, la GPEC est un dispositif central des ressources humaines de votre entreprise.
Or, peu d’entreprises ont mis en place un processus intégré et des outils dédiés pour que personne dans l’entreprise ne soit laissé pour compte, et que l’entreprise redevienne un lieu d’épanouissement et d’évolution sociale.
Il faut dire que la transition écologique/énergétique est passée par là, et que les investissements nécessaires à celle-ci se font bien souvent au détriment de la GPEC, des évolutions salariales et de la formation.
Or, la crise internationale pousse les entreprises à relocaliser leurs productions en France, et la circularité de l’économie a le vent en poupe, redonnant au dialogue social et à la fonction RH ses lettres de noblesse, qu’ils avaient un peu perdues du fait de la financiarisation des entreprises et de la mondialisation.
Or, une autre transition nécessite de disposer de salariés, fournisseurs ou partenaires compétents, agiles, et qui bénéficient des fruits de leurs efforts : la révolution digitale, qui touche tous les secteurs de l’économie.
Loin de détruire des emplois, les applications numériques, l’IA et la robotique, l’analyse des données, créent de nouveaux emplois, et font évoluer le travail.
Loin d’être l’apanage des informaticiens, les salariés, indépendants, PME doivent s’en saisir sous peine d’être exclus du partage de la valeur. De nouveaux champs de compétences s’ouvrent, de nouveaux métiers apparaissent, et pas seulement dans les start-ups.
Dirigeants, savez-vous où en est votre entreprise en ce qui concerne ses compétences numériques ? Maîtrisez-vous suffisamment le sujet pour faire les bons choix techniques et protéger les données de vos collaborateurs ?
La GPEC engage une réflexion globale sur les paramètres qui impactent les postes, les métiers, les compétences. C’est le moment de vous y mettre, sans attendre les obligations légales, qui contraignent plus qu’elles n’aident les entreprises à progresser.
Avec Viasens, analysez les impacts des nouvelles technologies sur vos compétences, et prenez des décisions maîtrisées !
La réussite de la certification QUALIOPI suite à l’audit AFNOR en février 2023 permet à VIASENS de franchir une étape de plus dans l’accès au très concurrentiel marché de la formation.
La spécificité de VIASENS ?
. Collaborer avec des formateurs indépendants et locaux autour de projets qualifiants porteurs de sens, comme des formations métiers pour l’industrie, l’environnement, l’agriculture ou le BTP.
. Les valeurs de bienveillance, éthique, contribution collaborative et mutualisation des moyens dans les propositions et réalisations.
. Accompagner des programmes de changement liés au management ou à la pédagogie, comme le tutorat/mentorat, la posture de manager/coach, la mise en œuvre de politiques RSE ou QVT, la gouvernance d’entreprise, la prévention des accidents ou maladies professionnelles, la contribution de toutes les parties prenantes et le partage de la valeur…
. Investir dans l’innovation participative comme moyen de faciliter la transition économique, sociétale et environnementale, en apportant aux organisations des méthodes d’animation innovantes, axées sur l’intelligence collective et l’expertise. L’idée est de progresser par le « faire ensemble », au sein d’incubateurs ou de fablab mettant en lien les porteurs de projets des Savoie.
. Mettre en lien les acteurs RH et les acteurs de la formation pour rendre les dispositifs de formation et d’accompagnement encore plus efficients sur les questions de l’emploi qualifié, de la qualité du travail et des relations professionnelles.
. Accompagner les mobilités et transitions professionnelles.
Mes valeurs ?
– La bienveillance et la coopération
– L’initiative locale face aux entreprises de l’économie mondialisée et aux plateformes numériques sans contenu
– Les relations humaines au cœur de l’apprentissage, du management et du changement
– La technologie et l’expertise métier comme support à l’efficacité des projets et actions.
Si vous vous reconnaissez dans ces valeurs ou dans les projets de VIASENS, contactez-moi au 06 83 89 92 37, ou rejoignez la communauté des partenaires de VIASENS.
J’aurais plaisir à discuter avec vous de possibles collaborations ou partenariats.
Nous sommes nombreux en chemin pour créer de nouveaux modes de vie, de nouvelles relations, de nouveaux projets et de nouvelles entreprises afin qu’ils soient plus inspirants, plus solidaires, plus coopératifs. Alors, à toutes les femmes et les hommes de bonne volonté, je souhaite une année 2023 riche d’enseignements et de nouvelles collaborations.